Green-Got, une start-up française, s'est associé à ClimatePartner pour intégrer les contributions climatiques dans son offre de comptes courants - l'une des trois étapes de sa mission visant à rendre les services bancaires personnels plus durables.  

Le secteur financier a un impact majeur sur le climat, les investissements actuels de fonds et de ressources déterminant le cours de l'avenir. Cependant, la finance durable n'est pas seulement un levier important pour les entreprises financières, les gestionnaires d'actifs ou les sociétés d'investissement qui veulent agir en faveur du climat, elle concerne également nos services bancaires personnels et chaque personne possédant un compte bancaire.  

Green-Got est une nouvelle banque indépendante française qui adopte une approche plus durable de la banque et de la finance personnelle que les banques traditionnelles qui investissent l'argent de leurs clients dans des domaines qui accélèrent le changement climatique, comme les énergies fossiles. Fondée en 2021 par Andrea Ganovelli et Maud Caillaux, Green-Got a officiellement lancé ses comptes courants et d'épargne durables en mai dernier. Ceux-ci contribuent à réduire les émissions de carbone liées aux comptes bancaires de trois manières différentes :  

Tout d'abord, pour chaque paiement par carte sortant d'un compte courant Green-Got, une commission variant entre 0,2% et 0,3% est versée par le vendeur comme contribution climatique à un projet de protection des forêts au Brésil. En outre, Green-Got investit durablement l'argent des comptes d'épargne de ses clients dans les principaux piliers de la transition écologique. Enfin, un calculateur d'émissions de carbone disponible dans l'application Green-Got permet aux clients de suivre les émissions liées à leurs dépenses quotidiennes, les rendant ainsi plus conscients de l'empreinte carbone associée à leurs dépenses.  

Andrea Ganovelli, cofondateur de Green-Got, explique que la protection de l’environnement est au cœur de l'idée commerciale de Green-Got : 

"Green-Got est né du constat que les investissements devraient être redirigés vers des projets qui protègent l'environnement, au lieu de le dégrader. Nous voulions pouvoir utiliser notre argent et notre épargne pour financer la lutte contre le réchauffement climatique et l'adaptation à ses effets qui sont déjà là."  

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